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Guide complet pour vendre ses photos sur le web avec les microstocks
Article rédigé par Jeff., le
21/02/2007.Voir son profil
On avait déjà parlé de Fotolia et de plusieurs banques d'images qu'on appelle "Microstocks". Sur ces sites, vous pouvez vendre vos photos facilement, mais pour une somme modique. Les avantages : vous êtes sûr de vendre vos photos, c'est encourageant, et celà vous permet aussi de maîtriser les critères de qualité (au début, beaucoup de vos images seront rejetées pour critères techniques -bruit, etc...- et au fur et à mesure de vos envois, vous maîtriserez de mieux en mieux ces paramètres). Les inconvénients : Les prix par vente sont faibles, celà se joue donc sur la quantité des images. C'est très mal vu par certains, et c'est tout un débat. Les revenus tirés de ce type de banques d'images sont très faibles par photo, il faut donc avoir un grand nombre de photo à envoyer et envoyer ses images sur un grand nombre de sites. Autre inconvénient : les banques d'images qui vous apporteront le plus de vente sont en anglais. C'est un frein si vous maîtrisez mal cette langue. Certains vivent de leurs ventes d'images avec les microstocks, mais c'est assez rare, et celà demande de bien maîtriser sa méthode. Nous allons justement voir dans cet article comment mettre en place les titres descriptions et mots clés une seule fois, et non une fois pour chaque site différent, comment envoyer ses images sur plusieurs banques d'images à la fois de manière automatisée et donc vous faire gagner énormément de temps, ainsi que quelques conseils et astuces. La fin de cet article est assez technique, mais la première partie est uniquement informative, et compréhensible. 1 - Choisir des banques d'images Voici une liste des "microstocks" les plus connus, et qui sont aussi ceux chez qui vous aurez le plus de ventes. Attention : il est important de vous inscrire à la version anglophone de ces sites, nous verrons pourquoi plus bas. (pour résumer, si vous vous inscrivez à la version française, vos titres et descriptions seront traduits en anglais par un logiciel de traduction automatique, ce qui est souvent bien plus désastreux que de les écrire soi même, même dans un anglais approximatif. Rappellez-vous que la plupart des acheteurs sont anglophones ! Deuxième raison : si vous souhaitez automatiser vos envois comme on va le voir plus bas, vous n'aurez pas à saisir vos mots clés plusieurs fois, ce qui serait le cas en travaillant à la fois avec des sites francophones et anglophones). Pas de panique, je vais indiquer des outils qui vous permettront de rédiger facilement vos mots clés en anglais même si votre niveau est peu élevé. Je les trie ici de la plus efficace à la moins efficace concernant le nombre de ventes que l'on peut faire : ![]() L'inscription : Shutterstock est assez sélectif : vous devez soumettre 10 images pour vous inscrire. Si votre candidature n'est pas retenue, vous devrez attendre un mois avant de soumettre une nouvelle candidature. Choisissez donc des photos très réussies, dans les thèmes que vous pouvez voir sur ce genre de sites, et absolument parfaites au niveau technique (peu retouchées, absolument aucun bruit, bonne netteté...). C'est l'un des sites les plus exigeants en ce qui concerne l'acceptation des inscriptions. L'envoi des images : Shutterstock est assez sélectif, et toutes vos images ne seront pas acceptées, loin de là. Sur Shutterstock, vous pouvez soumettre aussi bien des photos d'illustration que des photos "éditoriales". Les photos éditoriales concernent par exemple des évènements publics et ne demandent pas de "model release" dans le cas où des personnes apparaissent sur les images. Le seul usage que peuvent en faire les acheteurs est uniquement une utilisation éditoriale (= journalistique). Mais vous pouvez bien sûr envoyer aussi des images d'illustration "classiques". ![]() IstockPhoto appartient désormais à Getty Images, l'une des agences photo les plus connues. L'inscription : Vous devez soumettre 3 images pour vous inscrire. De la même façon, choisissez-les bien. Si votre candidature n'est pas acceptée, vous pourrez en proposer une nouvelle. Si par exemple, une seule image a été refusée parmi les trois, vous n'aurez plus que deux images à envoyer. L'envoi des images : Istockphoto est de loin le "microstock" le plus sélectif. Parfois, on ne comprend pas un rejet : dans un ensemble d'images celles qui nous paraissaient les meilleures sont rejetée. Bref, il ne faut pas le prendre mal, et s'y attendre. Par contre, Istockphoto est très efficace en ce qui concerne les ventes. ![]() Sur Dreamstime, l'inscription est simple, mais l'acceptation des images est assez sélective. Dreamstime est très sérieux, et vient tout de suite après Shutterstock et Istockphoto en ce qui concerne l'efficacité des ventes. ![]() Fotolia est la banque d'image "microstock" la plus connue par les francophones, puisqu'elle est dirigée par un Français, et qu'elle fait beaucoup de publicité en Europe contrairement aux autres qui sont souvent plus axés sur les Etats-Unis. Justement, Fotolia est très loin d'être la plus efficace en ce qui concerne les ventes. Pour moi, utiliser la version française est d'ailleurs une erreur, dans le sens où vos mots clés et descriptions sont traduites en anglais par Fotolia, par un logiciel de traduction automatique. Les clients, anglophones pour la plupart, vont donc lire des titres et mots clés souvent farfelus si vous ne faites pas l'effort de vous inscrire sur la version en anglais, et de bien rédiger vos titres et description en anglais. Il vaut mieux les écrire soi-même, même dans un anglais approximatif, plutôt que de faire confiance à une traduction automatique... ![]() Stockxpert 123RF Lucky Oliver Feature Pics (pas vraiment un microstock puisque c'est vous qui choisissez le prix). Il ne faut pas en attendre beaucoup en terme de ventes, mais comme nous allons le voir plus bas, on va envoyer toutes nos images à une multitude de sites, sans effort supplémentaire, de manière automatisée. Donc pourquoi se priver des agences "secondaires" ? Attention : certaines agences vous proposent un choix de vendre exclusivement chez eux. Il est bien plus avantageux de ne pas choisir l'exclusivité, et de s'inscrire sur plusieurs sites. En marge des microstocks, il faut aussi citer Alamy, qui est une banque d'image sérieuse, sur laquelle vous vendrez moins d'images en quantité, mais où les images sont vendues quelques centaines de dollars. 2- Préparer ses photos On a maintenant fait le tour des banques d'images. Pour préparer vos photos, quelques règles simples : - Pas de bruit (vraiment aucun...), c'est la principale raison de rejet par les banques d'images. - Pas de retouches trop originales : le client préfère souvent retoucher lui-même, et certaines banques d'images vous refuseront les retouches trop poussées. - Si vos images comportent des visages reconnaissables, vous devez joindre une autorisation signée par le modèle (= model release), sauf dans le cas de licences éditoriales (Shutterstock). Chaque banque d'image propose son exemple de model release, mais vous pouvez utiliser celui proposé par iStockPhoto, enlever le logo, et l'envoyer à toutes les banques d'images : ceci sera accepté. - Pas de marques, et pas d'objets sous brevet : vous ne pouvez pas envoyer de photos d'objets dont on voit la marque, ou d'objets reconnaissables, sous brevet. Si vous photographiez des objets, préférez des objets anciens, ou des détails non indentifiables. 3- Préparer ses outils pour la rédaction des mots clés On arrive ici dans le coeur du sujet. Une image avec de bons mots clés est une image facile à trouver pour l'acheteur. Vous devez donc soigner cette partie du travail. ------------------ Il est indispensable de lire l'article sur les données IPTC avant de continuer. Rendez-vous ici (Utiliser les données IPTC pour classer et retrouver vos photos) ------------------ Vous avez lu l'article ? Equipez-vous d'un logiciel qui vous permet d'écrire facilement vos mots clés, vos titres et vos descriptions dans les données IPTC. Comme je l'indique dans l'article, Photoshop fait ce travail, mais ce n'est pas le plus efficace. Equipez-vous d'outils complémentaires : - Un dictionnaire français / anglais (comme on l'a vu plus haut, on va rédiger les mots clés en anglais). De nombreux logiciels font ce travail et vous évitent de feuilleter un dictionnaire papier. Utilisez par exemple la barre d'outils de WorldReference : c'est gratuit et efficace. Utilisez par exemple - Un dictionnaire de synonymes, le mieux étant d'utiliser gratuitement un site comme Thesaurus.com qui va vous donner des synonymes par champ lexical. - Et enfin, Google vous servira certainement si vous hésitez entre deux orthographes : tapez le mot dans le champ de recherche, et voyez le nombre de résultats. La version correcte étant certainement celle qui obtient le plus de résultats... 4- Rédigez vos titres, descriptions et mots clés - Rédigez vos mots clés : attention, la limite est à 50 mots clés pour certaines banques d'images, 80 pour d'autres. Regardez quel est le site auquel vous êtes inscrit qui a la limite la plus basse, et ne la dépassez pas. Celà vous évitera d'utiliser plusieurs descriptions différentes. - Pour bien rédiger vos mots clés, je vous renvoie encore vers l'article sur les données IPTC : Rendez-vous ici (Utiliser les données IPTC pour classer et retrouver vos photos) Extrait : Citation:
Attention : pour l'instant n'envoyez rien vers les banques d'images : inscrivez bien vos titres, descritions et mots clés dans les données IPTC de vos photos. La plupart des sites récupéreront automatiquement ces données par la suite. 5- Automatisez l'envoi des photos Nous allons maintenant voir comment automatiser l'envoi des photos sur de multiples banques d'images. Vous n'aurez à envoyer vos images qu'une seule fois (sauf pour les banques d'images ne proposant pas de serveur ftp, comme istockphoto). Pré-requis : savoir utiliser un serveur ftp 1. Prenez un hébergement web d'une capacité de stockage convenable (selon vos besoins et la régularité de vos envois). Vous enverrez vos photos temporairement sur cet hébergement, et vous les effacerez une fois qu'elles seront envoyées vers les banques d'images. En fait, ce serveur va vous servir de relais d'envoi, et va se charger du travail à votre place. Attention : votre hébergement doit disposer de ssh (demandez à votre hébergeur). Cette condition est absolument indispensable pour continuer. Par exemple, Dreamhost offre une grosse capacité de stockage, une bande passante convenable, et une connexion ssh (il faut envoyer un mail au support technique pour qu'ils l'activent, mais c'est gratuit), pour un tarif raisonnable. 2. Envoyez vos images sur le serveur De préférence dans un répertoire non visible depuis le web. Vous pouvez utiliser un logiciel gratuit comme Filezilla pour transférer vos fichiers. Rien ne vous emêche de lancer le transfert avant de vous coucher : le lendemain matin toutes vos images seront envoyées. Attention à bien envoyer vos images une fois que les données IPTC sont remplies... voir étape plus haut. 3. Envoyez vos images depuis votre serveur à toutes les banques d'images Votre serveur va maintenant faire le travail de l'envoi des images sur les différents sites. Les avantages : - Votre ordinateur reste disponible : inutile de lancer 10 fois le transfert vers 10 sites différents, ce qui est pénible et chronophage. - Le transfert sera bien plus rapide, les serveurs web disposant d'une connection bien plus rapide que les débits alloués à l'ADSL. - Vous pouvez automatiser cette tâche. 1. Repérez l'adresse du serveur ftp des banques d'images. Presque toutes en proposent, hormis istockphoto. Exemple avec Fotolia : la page d'envoi de photos propose un lien vers les données du serveur ftp. Vous y trouvez : l'adresse du serveur (ftp://submit.fotolia.com), votre login ftp et votre mot de passe ftp. Cherchez cette information pour toutes les banques d'images auxquelles vous êtes inscrit, et notez-là. 2. Connectez-vous à votre serveur en ssh Sous windows, utilisez un logiciel comme Putty (gratuit) pour vous connecter en ssh à votre serveur, ou l'équivalent pour Mac. Sous linux, utilisez la console. Connectez-vous à votre serveur avec les identifiants ssh fournis par votre hébergeur. Naviguez en ssh jusqu'au répertoire où vous avez envoyé vos images. Par exemple, si elles sont stockées dans le répertoire "images", tapez : cd images Pour revenir en arrière d'un répertoire, si vous avez besoin, tapez : cd .. Enfin, si vous voulez en savoir plus sur les commandes utilisables en ssh, consultez des sites spécialisés, mais vous n'en aurez pas vraiment besoin. Il suffit de vous rendre dans le répertoire des images, en tapant par exemple : cd images Une fois dans le répertoire, vous allez vous connecter au serveur ftp des banques d'images, comme ceci : (après avoir entré une ligne, appuyez sur entrée) : ftp open adresse_du_serveur (exemple pour fotolia : ftp open submit.fotolia.com -sans le ftp://) - On vous demande ensuite un login puis un mot de passe, qui sont ceux fournis par la banque d'image. - Une fois connecté, tapez ceci : prompt Ceci va désactiver la demande de confirmation à chaque photo envoyée, pour vous permettre de quitter votre poste de travail pendant l'envoi. - Enfin, envoyez vos images en tapant : mput * (avec une étoile) Ceci va envoyer toutes les images du répertoire vers la banque d'image. Assurez-vous donc de n'avoir que les images dans ce répertoire, et rien d'autre. Et voilà ! Vous pouvez admirer la rapidité de l'envoi... Une fois les images envoyées, vous n'avez plus qu'à vous rendre dans votre compte sur la banque d'image : les photos ont été envoyées, les titres, descriptions et mots clés sont déjà entrés (depuis vos données IPTC lues par le site), et vous n'avez plus qu'à choisir des catégories ! Cette procédure est à recommencer pour chaque banque d'image, ce qui peut être fastidueux, mais nous allons voir comment l'automatiser. 4. Automatiser les envois à de multiples banques d'images en même temps Créez un fichier texte, appellé envoi.sh Dans ce fichier, mettez ceci et complétez selon les indications : Code:
Par exemple : si vos images sont dans le répertoire /home/images placez ce fichier dans /home Rendez maintenant ce fichier exécutable en y plaçant un chmod 755 (clic droit sur le fichier avec votre client ftp, propriétés, et droits du fichier). Enfin, pour lancer le programme, ouvrez votre client ssh (Putty ou autre), connectez-vous à votre serveur et rendez-vous dans le répertoire où est placé le script. Puis tapez : ./envoi.sh Toutes vos images seront alors envoyées automatiquement sur tous les serveurs des banques d'images que vous utilisez, simplement en tapant cette commande. Pratique, non ? N'hésitez pas à poser des questions si vous souhaitez en savoir plus... PS : si vous avez Linux sur votre PC à la maison, et une connection web rapide, nul besoin de se servir d'un hébergement web comme relais... vous pouvez tout faire de chez vous ! Je crois que c'est l'article le plus long que je n'ai jamais écrit sur VirusPhoto ![]() | |||
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#2
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Oua c'est du costaud ^^. Je le lirai ce soir. |
#3
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Très bon... et très clair !... Merci !... |
#4
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Jeff ton article est très bien fait. Chapeau J'ai juste deux remarques: 1. Plusieurs banques n'est pas toujours intéressant, c'est un choix. Si l'on vend des photos en exclusivité sur une banque le pourcentage de commission est plus élevé (sur Fotolia c'est 50% contre 30%...). Et puis il y a la langue dans laquelle on indexe qui compte. Si on indexe en Français cela limite le nombre des banques sur lesquelles on peut soumettre. Je te rejoins sur la question d'indexation en Anglais, mais l'indexation en Anglais sur le site Fotolia France est en principe interdite et est un motif d'exclusion. Il faut ouvrir un compte aux états unis ou en Grande Bretagne pour indexer en Anglais. A terme j'imagine que les problèmes de traductions seront résolu. Mais on peut très bien travailler en exclusivité pour une banque et mettre en vente toutes les photos qu'elle refuse sur les concurrent qui les acceptent. 2. Si on veut faire plusieurs banques à la fois sans avoir à tripatouiller dans la programmation du gestionnaire FTP, si l'on a Java d'installé on peut utiliser Prostockmaster, c'est fait pour. La version d'évaluation est limitée à 5 téléchargements par jour cela peut être suffisant si l'on a pas beaucoup de photos sinon on peut acheter la licence. http://allstockphoto.free.fr/?p=27 |
#5
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Citation:
Par contre l'exclusivité sur Istockphoto peut être plus intéressante, mais ça reste à comparer je pense. Citation:
Citation:
![]() Citation:
Je me suis inscrit sur la version en anglais (= tout est en anglais sur le site, je n'indexe pas en anglais sur la plateforme en français. Ce n'est pas ça qui serait interdit : indexer en anglais sur la plateforme française ?). |
#6
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Le logiciel Prostockmaster semble intéressant en effet. Ma méthode est donc plus orientée vers ceux qui souhaitent faire ça "à l'ancienne" et maîtriser exactement ce qu'ils veulent dans le processus d'envoi ![]() (et aussi aux utilisateurs de Linux, qui n'ont pas besoin de passer par un serveur de relais, comme expliqué plus haut). |
#7
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oui Jeff indexer en Anglais quand on a un compte FR leur pose problème dans leur système de traduction. Ils veulent traduire des mots anglais qu'ils ne comprennent pas parce que le système croit que c'est du Francais. Donc faut pas faire. C'est embêtant parce que certaines photos gagnent à être indexées en francais d'autres en Anglais d'autres en Allemand... suivant les marchés sur lesquels elles sont le mieux adaptées. L'avantage pour un Francais d'indexer en francais même s'il est à l'étranger c'est de gagner un crédit à 83 centimes plutot qu'à 1 dollars (le dollar est plus faible en ce moment). Mais on peut le faire aussi dans d'autres langues de la zone Euro. Ceci dit les changes fluctuent, donc c'est plus affaire de savoir sur quel marché on se place en priorité et la langue dans laquelle on taggue plus instinctivement. L'art de tagguer est d'employer un mix de mots communs et rares, de mots généraux et précis, sans en mettre trop, ni pas assez pour être très pertinent. |
#9
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Voici donc quelques précisions apportées par Guillaume Le Bleis, directeur de Fotolia France, dans un email qu'il m'a envoyé suite à cet article, et dont je me permets de copier ici un passage apportant des précisions sur Fotolia : Citation:
Effectivement, même si je parle ici de s'inscrire sur la version en anglais, le fait d'avoir des versions "localisées" du site est un plus, pour ceux qui ne sont pas à l'aise avec l'anglais, et c'est tout à l'honneur de Fotolia. Concernant le pourcentage de rémunération, il est élevé sur Fotolia, mais il faut aussi prendre en compte le volume de ventes (un site qui vend beaucoup avec un faible pourcentage rapporte plus qu'un site qui vend peu avec un pourcentage élevé). Pour ce qui est de la propriété intellectuelle, je ne suis peut être pas allé assez loin dans mon article (j'ai juste parlé des autorisations à faire signer), mais le sujet mériterait un article à part entière. Je vous conseille de consulter à ce sujet le wiki de Fotolia qui apporte beaucoup d'informations. |
#10
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Jeff pour rebondir sur la réponse du directeur France de Fotolia, Fotolia offre de gros pourcentages par rapport à ses concurrents et permet aussi de fixer le prix de ses photos dès que l'on a de l'ancienneté et que l'on propose cette photo en exclusivité. Vendre quelques photos à $10 ou $20 peut être plus rentable que beaucoup à $1 ou $2. Bref fixer son prix pour la photo est intéressant. Certes aujourd'hui le trafic du site Fotolia est plus faible que son gros concurrent et ventes sont plus faibles mais demain elles pourraient être plus importantes suivant les marchés sur lesquels Fotolia se positionnera. Ils comptent ouvrir la base à d'autres partenaires via les API, aujourd'hui il y a 1and1 mais demain il pourrait y avoir beaucoup plus de partenaires. Peu être que Fotolia vendra bientôt plus que ses principaux concurrents s'il se place sur des marchés différents plus larges, plus simples et qui n'existent pas encore ou très peu. Donc les questions exclusivité/non exclusivité, indexer en Anglais ou d'autres langues, fixer un prix à $1 ou plus cher sont des choix à faire. Il faut considérer la situation actuelle mais surtout faire un pari sur l'avenir parce que ce qui est certain c'est que la situation actuelle va changer. Et puis aussi on peut choisir de ne pas vendre sur microstock en licence libre de droit mais de vendre sur des plateformes comme Digitalrailroad, IPN ou Photoshelter. |
#11
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Merci pour ces précisions, FotoZ ![]() Effectivement, ça peut être intéressant avec l'ancienneté de fixer ses prix comme ceci. Il s'agit de choix, comme tu le dis, et chacun est libre de faire les siens ![]() La méthode que j'explique plus haut est celle que j'ai utilisé et testée, mais chacun peut construire la sienne en fonction de ses essais et de ses préférences. |
#12
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merci à tous pour ces précicions..ca pourra peut être servir dans quelques années ou avec la photo d'une vie!! lol! très interessant en tous cas! |
#13
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ouhai !!!!! intêressant, c'est certain, mais ca fait quand même un peu peur au néophite que je suis (surtout le passage serveur externe.....) Bien maîtrisé, c'est l'opportunité d'augmenter la probabilité de vendre ses images (mieux gagner petit souvent, que gros jamais....). J'ai l'impression que je vais galérer pour decrripter ton article. Merci quand même jeff pour ce tuto |
#14
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Il existe ce logiciel pour éviter de passer par la méthode du serveur de relais ![]() |
#15
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merci jeff |
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